En traquant un tueur en série de la pire espèce, Max, jeune commissaire mal dans sa peau va lever le voile sur le secret de son enfance. Une révélation qui va à jamais bouleverser sa vie et lui permettre enfin de prendre son destin en main. Une intrigue originale, une tension psychologique qui ne faiblit jamais, un polar d’une belle inventivité qui vaut le détour !
Voilà déjà un petit moment que les romans de Sandrine Destombes étaient notés sur ma liste d’envies. Alors quelle ne fut pas ma déception quand j’appris qu’elle ne pourrait finalement pas venir au salon de Tulle où j’avais prévu de lui acheter le premier ! Mais heureusement, et bien que cela ne remplace pas une véritable rencontre, j’ai pu l’avoir en contrepartie de mon inscription et c’est Sandrine elle-même qui me l’a fait parvenir dédicacé !
Quand je vous aurai dit que j’ai bouclé la lecture de ce livre en deux jours seulement vous comprendrez que c’est un véritable page-turner que l’auteure nous offre là !
On découvre Max, jeune commissaire de Police ébranlée par le départ en retraite de son mentor et seul véritable ami, qui part sur les traces d’un serial killer particulièrement retors. Elle va démêler l’écheveau de cette énigme avec l’aide de son équipe (José, Jeanne, Paul et Thomas) ainsi qu’avec Vincent, capitaine de gendarmerie, Gilbert, le légiste et avec le concours de son psychiatre.
En parallèle, elle essaie de déchirer le voile opaque de sa mémoire sur l’assassinat de sa mère dont elle a été témoin à l’âge de 8 ans et qui lui échappe constamment malgré les séances chez le psy ou chez l’hypnotiseur.
Aucun temps mort, un suspense constant, un rythme soutenu et la tension qui monte sans faiblir, un dénouement cohérent et complet, une fin du tonnerre, voilà un très bon premier roman qui laisse présager de la qualité des suivants !
Une auteure à suivre assurément !!!