Enlevée, abandonnée dans la jungle, une enfant est sauvée par des singes capucins. Pendant plusieurs années, elle vivra avec eux, en oubliant tout du monde des hommes.
En 1954, dans un petit village d’Amérique du Sud, une fillette est kidnappée et abandonnée au tréfonds de la jungle colombienne. Après des jours d’errance, elle découvre une communauté de singes capucins qui tolèrent sa présence, sans se soucier de son existence. Elle les imite, apprend leurs cris et leurs gestes, mais ne parvient pas à établir un vrai contact. Un jour pourtant, alors qu’elle manque de mourir, l’un des vieux singes vient à son secours… et ne la quittera plus. Commence pour Marina une vie étrange et aérienne dans les dangereuses hauteurs de la canopée, auprès de sa nouvelle famille. Cinq années sans voir un seul être humain.
Jusqu’à ce qu’elle soit arrachée à ce monde sauvage… Capturée par des chasseurs, elle est vendue à une maison close. Devenue esclave domestique, elle réussit à s’évader pour rejoindre un gang d’enfants des rues à Cúcuta. Après l’enfer vert, l’enfer humain montre un visage plus cruel encore. Mais Marina finira par vaincre tous les obstacles que la vie peut lui opposer, pour trouver l’amour et la liberté.
Entre L’Enfant sauvage et Le Livre de la jungle, un récit extraordinaire, une histoire de résilience exceptionnelle.
« Mieux vaut parfois l’humanité du monde sauvage que la sauvagerie de l’humanité ». Jean Itard – Mémoire sur les premiers développements de Victor de l’Aveyron (1801).
Avertissement : Il est ici question d’un livre très délicat à chroniquer (et j’ai l’impression de m’y prendre n’importe comment) dont je pense qu’il aurait peut-être été plus judicieux de confier la chronique à une personne du beau sexe. Je vais tâcher de faire de mon mieux.
Voilà maintenant un an que j’ai l’immense honneur de vous servir en tant que chroniqueur. Je tiens à remercier mes 6 homologues (et particulier l’administratrice Virginie à qui je dois ma présence sur ce blog) et à vous remercier aussi pour votre présence, ma vie me paraît meilleure maintenant que je fais ce travail. Pour fêter cela, j’ai préparé une chronique concernant un livre aussi méconnu qu’insolite.
Dans les 12 infos du 28 février 2011, Cyprien s’interrogeait sur le cas de 2 enfants qui semblaient avoir vécu dans une forêt (dans une canopée plus précisément, pas dans un sous-bois). Aussi étrange que cela puisse paraître son hypothèse n’est pas si éloignée de la réalité qu’elle n’y paraît. J’ignore tout de ces 2 enfants, mais je sais qu’il y eut jadis une petite fille qui savait grimper aux arbres et qui vivait en forêt.
Aujourd’hui nous allons parler de « Ma vie sauvage » (à ne pas confondre avec la vie sauvage dont il est question dans le 4e épisode de Virago que je pris la liberté de partager dans ma chronique sur « L’histoire d’Helen Keller »). Ce livre est traduit de l’anglais par Diane Chavelet.
Il raconte l’histoire de Marina Chapman (c’est son nom officiel actuel, mais elle a une demi-douzaine d’autres noms voir même pas de noms au cours de l’histoire, j’ai estimé qu’il valait mieux que je l’appelle Marina dans cette chronique) qui eut une enfance et une adolescence plutôt hors du commun (oui, c’est un piètre choix de mots). Dans les années cinquante alors qu’elle n’est qu’une enfant (elle a très peu de souvenirs de sa vie avant le basculement dont je vais bientôt parler, mais elle dit avoir le souvenir clair d’avoir approché son cinquième anniversaire à ce moment) elle est enlevée (sans doute au Venezuela ou en Colombie). Ses ravisseurs décident ensuite de l’abandonner dans la jungle. Après une longue errance, elle rencontre finalement (j’en profite pour préciser qu’en français il faut dire « finalement » et non pas « au final ») elle fait la rencontre d’une communauté de singes capucins. Cette dernière l’ignore initialement, jusqu’à ce que Grand-père singe (c’est le nom qu’elle lui donne) lui sauve la vie (je ne vais pas vous dire comment, à vous de lire le livre pour le découvrir). Marina intègre alors la communauté et passe 5 années à vivre comme un singe (bon, là je résume très vite il y a énormément de choses à dire concernant ces 5 années). Au bout de ces 5 années, elle se fait ramener dans le monde des humains par des chasseurs qui la vendent (n’allez surtout pas croire que le cas d’esclavage dévoilé le 14 novembre 2017 est le seul cas d’esclavage dans le monde d’aujourd’hui) à une maison close (au cas où vous seriez en train de vous poser la question, elle a échappée à ce pour quoi les maisons closes sont connues, mais sa vie dans cet établissement fût tout sauf bonne). Après cela elle va devenir une enfant de rue, une voleuse, une arnaqueuse, une travailleuse honnête avant de travailler pour la mafia (je ne sais pas si je suis en train de tout mettre dans l’ordre, j’essaie de résumer au plus vite avec un minimum de détails) et après la mafia voici que…
Je vais en rester là, je ne tiens pas à donner des détails concernant la fin de ce livre, si je vous raconte tout vous n’aurez plus envie de le lire.
Si cela vous intéresse j’ai trouvé un excellent documentaire francophone sur dailymotion dont voici le titre : « Marina Chapman : Une Enfance avec Les Singes » dont je ne vais pas vous donner le lien (la dernière fois que je fis cela, ça a mal fini alors je ne veux pas prendre de risques et puis je mets déjà beaucoup trop de liens sans dailymotion) que je vous invite à regarder (je me permets de vous conseiller de lancer la recherche maintenant, car, sans mettre en doute les capacités de votre mémoire, la chronique est encore longue et vous risquez d’oublier d’ici la fin).
Vous avez à présent un aperçu de l’histoire, mais cela ne suffit pas pour faire un bon livre. Avoir une histoire à raconter est une chose, bien le faire en est une autre. Vous avez de la chance, ce livre a été rédigé par des plumes très fines. Voici leurs contributions respectives :
- La préface de Vanessa James (fille cadette de Marina) qui mériterait une chronique à elle toute seule.
- Un prologue et 2 parties (une pour la vie dans le monde des singes et une pour la vie dans le monde des humains) écrites par Marina.
- Une postface écrite par Lynne Barrett-Lee, auteur à succès vivant de sa plume.
Maintenant que vous savez qu’avant « seul face à la nature » (ou « man vs Wild ») il y avait « seule face à la nature » (ou « woman vs Wild »), je vais vous donner mes impressions concernant ce livre.
J’ai trouvé ce livre très captivant, j’avais sans cesse envie de poursuivre la lecture. J’ai dévoré « Ma vie sauvage » comme j’ai dévoré « Moi, Malala » (en un jour j’en étais arrivé au moins à la page 100). J’étais tout le temps tenu en haleine, impatient de poursuivre. Tous les passages de ce livre n’eurent de cesse de capter mon attention, le passage concernant les Amérindiens par exemple, il me paraissait passionnant. Saviez-vous qu’en Amazonie il y a des tribus indigènes qui tirent littéralement à coups de flèches sur les hélicoptères et qui sont coupées de notre monde dont ils ignorent tout (il y a aussi un peuple légendaire dont on ignore s’il existe réellement, mais qui pourrait exister) ? Saviez-vous également que cela n’est pas observé qu’en Amazonie ? Je vous laisse constater cela par vous-même.
Il y a un travail énorme qui a été fait pour réaliser ce livre, ne serait que pour ce qui fût fait pour obtenir des données concernant la croissance des cheveux de Marina et de Vanessa qui permettent de donner des estimations concernant le temps que Marina a passé dans la jungle, ça m’a complètement épaté, je connais peu d’auteurs qui vont aussi loin pour écrire un livre (à côté de ce travail, je passe pour un complet amateur avec mes liens, en même temps je suis réellement un amateur).
Tous les visages de l’humanité (aux deux sens du terme) sont ici regroupés dans un seul livre.
L’une des nombreuses raisons pour lesquelles je tiens à recommander la lecture de ce livre (si ça ne tenait qu’à moi je ferais passer une loi pour la rendre obligatoire) est que (sauf erreur de ma part) ce livre montre très bien tout le mal que causent…
–la drogue,
– l’alcool au volant,
–la prostitution,
Si tout cela n’est pas une série de bons enseignements, je ne vois pas ce qui pourrait l’être.
En parlant d’enseignements, ce livre m’a appris ce à quoi on reconnaît la vraie famille (et ce n’est pas à la filiation) et il le fait vraiment très bien. Ce livre est la clé d’une grande sagesse, il m’a vraiment remis à ma place plus d’une fois pendant la lecture. « Ma vie sauvage » montre bien la façon dont Marina usa de ce qu’elle apprît chez les singes non seulement lors de sa longue découverte du monde des êtres humains, mais aussi après qu’elle ait fondé une famille. Les humains se considèrent parfois comme des êtres supérieurs au règne animal, mais cet ouvrage nous rappelle que nous avons beaucoup à apprendre de nos cousins éloignés.
La découverte du monde des humains par Marina, me rappelle un peu celles de Wonder Woman (dans le film et la série animée La Ligue des justiciers) et de Babar (chacun ses madeleines de Proust), mais il y a quand même beaucoup de différences. Lisez le livre puis regardez le film « Wonder Woman » vous trouverez toutes les réactions de Diana arrivant dans le monde des hommes pleines à craquer de vérité.
L’appréhension des agissements de Marina est délicate à effectuer, il faut être humble. Vous voyez ce que LinksTheSun décrit dans son 50/50 sur Polisse avec le fait que nous ne pouvons pas reprocher aux policiers leurs défauts comme nous le ferions pour le commun des mortels, eh bien là c’est exactement la même chose. J’ai condamné ce que Marina fit chez les Sœurs (ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres). Mais à sa place (si j’avais traversé tout ce qu’elle traversa dans ce livre), j’aurais peut-être fait la même chose. Je n’ai pas vécu ce qu’a vécu Marina et donc je la regarde avec mes yeux de personne ayant eu une enfance, disons « normale » (nous avons tous des parcours différents et je ne vois pas ce qui pourrait être unanimement reconnu comme étant normal d’où les guillemets). Mais je ne sais pas ce qu’elle a vécu (enfin si je le sais puisque le livre le relate, mais mon imagination ne me permet pas d’avoir exactement le même état d’esprit que celui de Marina). Je condamne ces actes, car j’ai eu une enfance « normale » accompagnée d’une éducation « normale » qui me permit d’apprendre ce qui est bien et ce qui est mal ce que Marina n’eut pas du temps de sa découverte du monde des humains. Marina est elle-même un personnage gris. Elle fait du mal chez des gentils, du bien chez des méchants, du bien chez les gentils, du mal chez les méchants. Elle n’est pas parfaite comme une héroïne de fiction, c’est un personnage réel, un personnage humain (c’est le cas de le dire). D’ailleurs, Marina respecte la règle de base (que je fis l’erreur de ne pas respecter dans certaines de mes premières chroniques) : elle s’en tient aux faits réels et véritables sans chercher à déformer, romancer, dramatiser, les faits relatés sont véritables.
Une autre règle en matière de biographie ou d’autobiographie à laquelle je tiens qui fut respectée dans ce livre est la présence de photographies au milieu du livre.
Je tiens à honorer son courage, elle raconte des tonnes de mauvaises actions alors que j’ose encore à peine aller me confesser (il faut vraiment que j’y remédie, comme quoi je devrais vraiment prendre exemple sur elle en matière de courage).
Je tiens aussi à féliciter la personne qui eut l’idée de choisir le titre « Ma vie sauvage » pour la version traduite en français (le nom du livre en anglais est « the girl with no name » ce qui traduit de façon stricte, littérale mot pour mot signifie en français « la fille sans nom ») je pense que je n’aurais pas trouvé autre chose qu’« oubliez tout ce que vous croyez savoir ». En effet ce titre révèle toute la complexité de l’ouvrage. J’ai longtemps pensé qu’il désignait la vie de Marina chez les singes, mais maintenant que je l’ai lu, je me demande si le titre ne désigne pas sa vie chez les humains ou peut-être alors que les deux vies sont rassemblées en une seule (vous découvrirez la vraie réponse lors de votre lecture, je refuse de vous la révéler).
C’est une histoire en apparence unique et hors du commun, mais qui en fait ne l’est pas tant que ça. J’ignore si d’autres enfants vécurent des aventures qui soient vraiment comparables à celles de Marina en Colombie dans le monde des animaux (il y en eût dans d’autres pays en tout cas, mais j’ai choisi ce livre, car l’histoire de Marina est à ma connaissance la seule à avoir été couchée sur papier sous forme d’autobiographie), mais en ce qui concerne le monde des hommes, le livre ne laisse planer aucun doute là-dessus. En tout cas, les horreurs que Marina révèle concernant les enfants ne s’arrêtent pas à ce que son livre et le 50/50 dont je parlais révèlent.
Concernant la maltraitance des femmes (et des petites-filles), ce que relate Marina n’est hélas que la partie émergée de l’iceberg. Pour le prouver (je ne cherche pas à passer pour un expert en la matière ou pour quelqu’un qui sait tout ou qui a toujours raison et je ne mets pas en doute le fait que Marina connaît certainement mieux que moi ce dont il est question), je vais vous partager quelques exemples (qui sont eux aussi loin de révéler tout ce qui se passe réellement).
Il y a par exemple (je vais tâcher de ne fournir ici que des liens que vers des témoignages, des reportages, des bilans et des comptes-rendus) :
–le fait que d’après l’UNICEF, chaque minute 6 filles et femmes sont excisées dans le monde.
–les femmes Badi au Népal qui sont contraintes d’être des prostituées de mère en fille.
–le fait qu’aujourd’hui dans certaines régions du monde, de nombreuses femmes qui ont leurs règles meurent, car on les oblige à coucher dehors pour des raisons dont je dois laisser l’explication à la présentatrice de cette vidéo.
-cette pauvre petite fille (qui fût esclave sexuelle) au Mexique qui fût violée 30 fois par jours pendant 4 ans, soit au moins 43200 fois au total (soit plus d’une fois par heure et moi qui croyais que cela était impossible) d’après ses estimations.
-cette Dame aux U.S.A. qui fût mariée de force à 11 ans à l’homme qui l’avait violée. Cela est légal dans les 50 Etats à l’heure ou je rédige ce passage sauf erreur de ma part.
-le fait que 22% des hommes et 17% des femmes (au sein de la population étudiée par les personnes qui réalisèrent la vidéo jointe ci-dessous) considèrent que lorsqu’une femme dit non (en matière de consentement sexuel) elle veut dire oui.
Quand je pense que les jeunes filles sont l’image de l’innocence (avec les agneaux).
Revenons maintenant à « Ma vie sauvage ».
Ce livre nous révèle également qu’il y a en ce monde, de nombreuses missions desquelles nous devons nous acquitter par exemple…
–protéger l’environnement. Nous traversons actuellement la 6e extinction de masse de l’Histoire de la terre (la précédente extinction de masse fût celle qui tua les Dinosaures).
–aider les mineurs orphelins. Aucun enfant ne mérite de vivre ce que Marina décrit. Il y a plein d’enfants orphelins qui souffrent et qui rêvent d’être adoptés (et je dis cela alors que je suis actuellement membre de 2 associations dont le titre de membre ne peut être obtenu que si le postulant a une filiation particulière) et je considère qu’il est important d’offrir à chacun d’entre eux l’enfance à laquelle chaque enfant devrait avoir droit (cela me fait penser à la citation « si vous ne pouvez pas nourrir cent personnes, nourrissez-en au moins une », de Sainte-Mère Teresa).
Aussi, je me permets (en présentant toutes mes excuses pour mon audace) d’inviter tous les couples qui ne parviennent pas à avoir d’enfants à lire ce livre et à prendre en considération ce qu’il révèle, avant de décider pour quelle solution opter. Bien entendu, la décision finale appartient à chacun et je sais qu’il faut respecter et non critiquer les personnes qui pensent différemment (dans une démocratie il faut accepter la différence d’opinions), je pense, néanmoins que ce livre s’impose désormais pour cette réflexion.
Après tout ce que je viens de montrer, j’imagine que vous avez envie d’agir (comme moi). Et c’est là que Marina respecte parfaitement une autre règle pour un bon témoignage : donner au lecteur le pouvoir d’agir pour changer les choses.
Il est en effet écrit au dos du livre « l’auteur versera les profits des ventes de son livre à des œuvres caritatives qui luttent contre le trafic d’enfants en Colombie ».
De plus comme « Moi, Malala » me dirigea vers l’organisation MALALA FUND et « Somewhere Inside » me dirigea vers l’organisation LINK (Liberty In North Korea) (je la connaissais avant, mais je dois quand le mettre en avant), « Ma vie sauvage » me dirigea vers deux organisations :
–NPC (Neotropical Primate Conservation — Protection des primates en zones néo-tropicales), une organisation qui lutte pour protéger les primates d’Amérique du Sud et d’Amérique Centrale dont l’existence est mise en danger par toutes sortes de menaces.
–SFAC (Substitue Families for Abandonned Children — Familles de substitution pour enfants abandonnés.), une organisation qui a pour but de trouver un ou des parents qui accepteraient d’accueillir des enfants abandonnés pour leur offrir une enfance digne (sans tentatives de viols, sans prostitution et sans drogue) avec de l’attention, de la sécurité, de l’amour qui leur manqua toujours. Je suis tellement heureux que cette association existe que j’en ai presque les larmes aux yeux au moment où j’écris ce que vous lisez actuellement. Ah j’allais oublier, cette association vise la prise en charge chez des particuliers plutôt que des institutions sociales et si vous ne pouvez vous permettre un tel engagement vous pouvez aider les familles qui y sont prêtes.
Ma vie sauvage a (à mes yeux du moins) le potentiel d’être une énorme référence littéraire, tout là-haut avec (exemples parmi tant d’autres choisis, car déjà chroniqués par mes homologues ou par moi-même) Astérix, Harry Potter, Les raisins de la colère, Le rouge et le noir (je n’ai lu aucun des livres vers lesquels je viens de vous renvoyer ou du moins pas le tome qui fût chroniqué, je m’en remets à ce que je sais et à différents avis), Si c’est un homme ou encore Le dernier jour d’un condamné. Je vais même aller jusqu’à dire que je considère, que cet ouvrage est un aussi bon livre que « The Dark Knight » est un bon film (en parlant de film, j’espère que ce livre sera un jour adapté au cinéma). Aussi je vous encourage vivement à le lire.
Il reste encore énormément de choses à dire, mais il faut bien que je m’arrête quelque part à un moment, j’espère avoir réussi à vous mettre en appétit sans vous spoiler.
Avant de finir, je tiens à remercier Univers du Top…
… car c’est à lui que je dois la découverte de cet excellent livre.
Si vous souhaitez le commander.
P.S. Si vous ne savez pas quoi offrir à vos proches, je crois que ce livre est une bonne idée de cadeau.
Merci pour votre fidélité et à bientôt pour de nouvelles histoires.